24/11/2019 @ 19:30
Dalia Naous, Ana Maria Gomes, Fu Le
Ciné-Corps prend son destin entre ses mains
Une programmation de courts-métrages contemporains sur la danse et le corps
Une sélection hyper inclusive des éditions passées et à venir
Une programmation de courts-métrages contemporains sur la danse et le corps
Une sélection hyper inclusive des éditions passées et à venir
En présence des réalisatrices Dalia Naous et Ana Maria Gomes, et du réalisateur Fu Le
Au programme
Velodrome de Olga Dukhovnaya et Konstentin Lipatov
(2019, 7 minutes)
Un vélodrome et un violon. Ce film et issu du marathon de la vidéodanse Ciné-Corps 2019 au TNB à Rennes, avec Blanche Jandin et Felix de Meyer.
(2019, 7 minutes)
Un vélodrome et un violon. Ce film et issu du marathon de la vidéodanse Ciné-Corps 2019 au TNB à Rennes, avec Blanche Jandin et Felix de Meyer.
Lay me low, de Marlene Millar et Sandy Silva
(8 min, 2015)
10 danseurs, musiciens et chanteurs partagent un sentiment universel de perte et un sens de l’intimité paradoxal.
(8 min, 2015)
10 danseurs, musiciens et chanteurs partagent un sentiment universel de perte et un sens de l’intimité paradoxal.
A trois tu meurs d’Ana Maria Gomes
(2015, 9 minutes)
« Joue ta mort pour la caméra, je compte jusqu’à trois, à trois, tu meurs ». Telle est la consigne donnée à des adolescents qui ont imaginé et théâtralisé leurs derniers instants, leur dernière image. À travers des situations d’agonie, de chutes, d’abandon, ils véhiculent aussi d’autres images – celles qu’ils voient dans les jeux vidéos, les films, les médias.
(2015, 9 minutes)
« Joue ta mort pour la caméra, je compte jusqu’à trois, à trois, tu meurs ». Telle est la consigne donnée à des adolescents qui ont imaginé et théâtralisé leurs derniers instants, leur dernière image. À travers des situations d’agonie, de chutes, d’abandon, ils véhiculent aussi d’autres images – celles qu’ils voient dans les jeux vidéos, les films, les médias.
Bhairava de Marlene Millar et Philip Szporer avec Shantala Shivalingappa
(14 min, 2017)
Bhairava évoque les différentes facettes de Shiva, le maître de la danse à la fois le destructeur du mal et le gardien du temps. Féroce il commet de terribles actes, mais il est aussi protecteur divin et gardien suprême.
(14 min, 2017)
Bhairava évoque les différentes facettes de Shiva, le maître de la danse à la fois le destructeur du mal et le gardien du temps. Féroce il commet de terribles actes, mais il est aussi protecteur divin et gardien suprême.
L’âge d’Or d’Eric Minh Cuong Castaing
(22 min, 2018)
Les enfants handicapés moteurs de l’Institut Saint Thys de Marseille expérimentent diverses techniques de danse et des lunettes de réalité virtuelle, leur permettant de voir ce que voient des danseurs. Entre fiction et expérimentation, ce court métrage nous fait glisser dans un monde, onirique et fantasmé, dont ils sont les demi-dieux. Un nouvel Âge d’Or au-delà des normes.
(22 min, 2018)
Les enfants handicapés moteurs de l’Institut Saint Thys de Marseille expérimentent diverses techniques de danse et des lunettes de réalité virtuelle, leur permettant de voir ce que voient des danseurs. Entre fiction et expérimentation, ce court métrage nous fait glisser dans un monde, onirique et fantasmé, dont ils sont les demi-dieux. Un nouvel Âge d’Or au-delà des normes.
Caïrography de Dalia Naous
(18 min, 2015)
Chacun joue un rôle de manière tacite ou explicite en imposant l’état permanent de censure que nous éprouvons au Caire. Nous nous trouvons souvent entravés par nos proches avant même de pouvoir confronter les contraintes de la société. L’autocensure semble être le moyen le plus facile pour cacher ses différences et passer inaperçu. Avant de prendre une forme artistique, Cairography se déclinait sous la forme de fragments d’histoires rassemblant les expériences de deux amies non égyptiennes qui s’interrogent sur leurs relations avec la ville du Caire et sur les modalités de leur présence dans ses rues. À travers Cairography, nous tentons de mettre à l’épreuve les limites de la capacité corporelle face à la restriction de la société et de questionner les frontières visibles et invisibles entre l’espace public et l’espace privé dans la ville du Caire : qu’est-ce que ça fait de se promener dans ces rues là ? Qu’est-ce qui est permis et qu’est-ce qui ne l’est pas ?
(18 min, 2015)
Chacun joue un rôle de manière tacite ou explicite en imposant l’état permanent de censure que nous éprouvons au Caire. Nous nous trouvons souvent entravés par nos proches avant même de pouvoir confronter les contraintes de la société. L’autocensure semble être le moyen le plus facile pour cacher ses différences et passer inaperçu. Avant de prendre une forme artistique, Cairography se déclinait sous la forme de fragments d’histoires rassemblant les expériences de deux amies non égyptiennes qui s’interrogent sur leurs relations avec la ville du Caire et sur les modalités de leur présence dans ses rues. À travers Cairography, nous tentons de mettre à l’épreuve les limites de la capacité corporelle face à la restriction de la société et de questionner les frontières visibles et invisibles entre l’espace public et l’espace privé dans la ville du Caire : qu’est-ce que ça fait de se promener dans ces rues là ? Qu’est-ce qui est permis et qu’est-ce qui ne l’est pas ?
Mass de Fu Le
(2019, 15 minutes)
Les images de foule sont de plus en plus récurrentes et emblématisent les bouleversements actuels, évoquant tour à tour les fêtes, les migrations de réfugiés, les manifestations, rassemblements religieux ou encore le quotidien des métropoles. Nous travaillons donc sur la masse, avec toute l’ivresse et l’horreur qu’elle peut inspirer. Nous confrontons l’individu aux mouvements de foule, afin d’observer la manière dont il résiste ou se laisse immerger.
(2019, 15 minutes)
Les images de foule sont de plus en plus récurrentes et emblématisent les bouleversements actuels, évoquant tour à tour les fêtes, les migrations de réfugiés, les manifestations, rassemblements religieux ou encore le quotidien des métropoles. Nous travaillons donc sur la masse, avec toute l’ivresse et l’horreur qu’elle peut inspirer. Nous confrontons l’individu aux mouvements de foule, afin d’observer la manière dont il résiste ou se laisse immerger.
Cultes de (La) Horde
(15 min 2019)
Cultes est un film artistique réalisé lors d’un festival de musique (Les Eurockéennes) à Belfort. Pour ce projet nous avons souhaité capter les foules en liesse afin de mener une réflexion autour de ce que représentent ces rassemblements. Nous avons voulu montrer comment le corps occupe l’espace par le nombre : par la danse.
(15 min 2019)
Cultes est un film artistique réalisé lors d’un festival de musique (Les Eurockéennes) à Belfort. Pour ce projet nous avons souhaité capter les foules en liesse afin de mener une réflexion autour de ce que représentent ces rassemblements. Nous avons voulu montrer comment le corps occupe l’espace par le nombre : par la danse.